Il faut nous souvenir que nous avons
bien plus besoin de la nature que la
nature a besoin de nous.
Elle a besoin que nous ressentions des
liens aimants avec non seulement nos
animaux familiers, mais le monde animal
et végétal.
Elle a besoin de nos émotions poétiques
devant les mers, les montagnes, les vols
d'oies sauvages, la majestueuse sérénité
des grands arbres.
N'oublions jamais que nous sommes des
vivants au sein d'un monde vivant.
Nous devons comprendre que les
écosystèmes et là biosphère qui englobe
les
écosystèmes sont des merveilles
d’auto-organisation spontanée
et autorégulée.
E. Morin L’humanité de l’humanité
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