samedi 13 juillet 2013

Plus rien ne pèse...

L'attachement à soi augmente l'opacité de la vie.

 Un moment de vrai oubli et tous les écrans les uns derrière les autres deviennent transparents, de sorte qu'on voit la clarté jusqu'au fond, aussi loin que la vue porte, et du même coup, plus rien ne pèse.
 

Ainsi l'âme est vraiment changée en oiseau...


Jacottet
Et l'encre serait de l'ombre Poésie Gallimard

1 commentaire:

  1. Ivresse du saké, oublier le soi,
    rond comme une roue de vélo.
    Ivresse du zazen, entrevoir le Soi,
    enso !

    RépondreSupprimer

La fin d'un blog

     Impermanence et changement...    pas facile parfois... la fin de ce blog depuis avril 2012, pour moi, un espace de liberté, un espace d...