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La fin d'un blog
Impermanence et changement... pas facile parfois... la fin de ce blog depuis avril 2012, pour moi, un espace de liberté, un espace d...
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D’abord il y a Bassho , l’incontournable, le marcheur, tout dans la tension entre joie et douleur, haïku- Bassho, toujours Ce j... -
Corps plein, corps unifié, corps et esprit UN. M° Dogen écrit dans le chapitre Roi des Samadhis, du Shobogenzo : ... -
une haie d'hibiscus une petite échoppe de sandales en paille Shiki elle franchit le seuil de ma porte sans s'...
Ah ! Ce cher Trinh Xuan Thuan...son "dictionnaire amoureux du ciel et des étoiles" est toujours à portée de main, ainsi que "le chaos et l'harmonie", "les voies de la lumière"...on ne s'en lasse pas.
RépondreSupprimerEn ce dimanche 4, après lecture de "fête des morts", mes pensées s'envolaient vers mes disparus bien sûr, mais aussi vers ceux qui disparaissent à chaque instant, le regard porté au-delà de ma fenêtre donnant sur de grands peupliers dénudés balancés par le vent...qu'est-ce qui a été, qui est, qui sera ? Impermanence et interdépendance... vérité relative, vérité ultime... Où se situe "l'inconnu" ? Mot que je préfère substituer à celui de "hasard" qui prête à confusion tant il favorise un terrible sentiment d'absurdité dans le langage courant.
Ainsi, pour en revenir à la poussière d'étoiles et à la mécanique quantique, tout ce qui est ne serait qu'électrons INTRIQUÉS dans le joyeux et nécessaire désordre dharmique.
Merveilleux !
Quoi que ce soit, cela n’est pas mien (N’etam mama)
Quoi que ce soit, je ne suis pas cela (N’eso’ham asmi)
Quoi que ce soit, cela n’est pas mon ego (Na me so attā)
Il y a un sans naissance, sans devenir, sans création, sans conditions
atthi ajātaṃ abhūtaṃ akataṃ asankhataṃ