Partir....et
...rencontrer des
nonnes : Sakyadhita
Buddha's Daughters, les Filles de Bouddha :
Mutta, femme libre,
sois libre comme la lune est libérée
de l'éclipse
et des mâchoires obscures du
dragon Rahu.
Avec un esprit libre,
sans dette,
apprécie ce qui t'a été donné,
cette aumône de nourriture.
Née après
Shakyamouni
morte avant Maitreya
ma vie
certes
commence
et se termine
entre deux Bouddhas
mais la naissance
n’est pas la
naissance
et la mort
n’est pas la mort
Lung
Po
le vieux pin
sereinement repose
entre deux nuages...
Lung Po
...être touchée par Borobudur
Le site, construit aux alentours de l’an 800, semble avoir été abandonné vers l’an 1100.
Le temple est à la fois un sanctuaire dédié au Bouddha, mais aussi un lieu de pèlerinage bouddhiste. C’est à la fois un stûpa et, vu du ciel, un mandala. Il forme un carré d’environ 113 mètres de côté avec, à chaque point cardinal, une partie en saillie accompagnée aux quatre angles par une partie en retrait.
Il est constitué de quatre galeries successives de forme géométrique. Celles-ci sont superposées et les trois plus hautes forment une représentation de la cosmologie bouddhiste. Comme l’ensemble du monument, ces galeries sont couvertes de bas-reliefs, dont la longueur totale est d’environ 5 kilomètres, relatant les divers épisodes de la vie du bouddha Sakyamuni. Ces bas-reliefs furent taillés in situ dans de la pierre volcanique grise par différents artisans qui réussirent néanmoins à préserver l’unité artistique du monument.
Après avoir traversé les quatre galeries, le pèlerin atteint la terrasse supérieure, elle aussi surmontée de trois terrasses circulaires concentriques bordées de 72 stûpas (respectivement 32, 24 et 16). Ils consistent en des cloches de pierre ajourées logeant des bodhisattvas. Au centre de ces terrasses et donc au sommet du Borobudur, un autre stûpa couvre un bouddha inachevé, dont on ignore s’il a été rajouté après coup ou s’il était présent à l’origine.
Borobudur est resté caché des siècles par les cendres volcaniques
et la jungle. Les raisons de l’abandon du site sont encore
mystérieuses. On ne sait pas pourquoi le temple a cessé d’être un lieu
de pèlerinage bouddhiste. Entre 928 et 1006, le centre du pouvoir local se déplaça vers le Java oriental
et une série d’éruptions volcaniques eurent lieu, sans que l’on sache
si ces événements étaient liés, même si plusieurs sources mentionnent
cette période comme celle de l’abandon du temple.
...visiter Saïgon et
Hanoï
Saigon Ou "Ho Chi Minh Ville"
Le pays d’avant
Le pays d’avant
Il est vert
Rizière
Pays de cocagne
De cocotiers
Pays de montagnes
De bananiers
Il est vert
Rizière
Pays de cocagne
De cocotiers
Pays de montagnes
De bananiers
Le pays d’avant
Il est bleu
Il est sel
Il est feu
Il est miel
Déli-ciel
Le pays d’avant
Il est doux
Il est boue
Pays de rivières
Pays de lumières
Naguère
En guerre
Pays de veuves
Naguère
En guerre
Pays de veuves
Le pays d’avant
Il est fruit
Tendre
Goûté
Il est pluies
Cendres
D’été
Il
est bruits
Des cités
Brûlantes
À vendre
Des cités
Brûlantes
À vendre
Le
pays d’avant
Il est visages
Sans âge
Villages
Paisibles
Il est facile
À voir
Difficile
À avoir
Invisible
Le pays d’avant
Il est moussons
Violentes
Il est frisson
De voix lentes
De terres
Sanguinolentes
De mers
Indolentes
De mères
Implorantes
Il est moussons
Violentes
Il est frisson
De voix lentes
De terres
Sanguinolentes
De mers
Indolentes
De mères
Implorantes
Le pays d’avant
D’avant quoi
D’avant qui D’avant moi
D’avant ici
Devant vous
Devons-nous
Pleurer
Pays leurré
Souvent
Enterré
Sous le vent
Effleuré
Dans les rêves
Flairé
Serré
Emmuré
Murmuré
Du bout des lèvres
En déshérence
Errance Désespérée
Dans les rêves
Flairé
Serré
Emmuré
Murmuré
Du bout des lèvres
En déshérence
Errance Désespérée
Le pays d’avant
Il n’existe plus
Il est perdu
On n’a jamais su
On l’a jamais vu
On n’a jamais pu
Le prouver
Le retrouver
Le pays d’avant
Il n’existe pas
Il n’existe pas
Thanh-Vân Tôn-Thât LE PAYS D’AVANT
Kiêp
sau nguyên chang lam nguoi
Dans
ma vie future je ferai le serment de ne jamais devenir un homme
Lam
cây thông dung giua troi ma reo
Mais
un pin chantant au milieu du ciel
Nguyen
công tru
De
l'exubérance du printemps, le monde n'a pas fini de jouir
Le
Fleuve Rouge, aux flots impétueux coule sourdement
Le
sang de la vie inonde la terre rouge
Le
rythme de l'univers élève le lit du fleuve
J'entends
le monde à grand pas déplacer les montagnes
Je
l'entends puissamment rouler la lune, les étoiles
Et
je vais seul sur la chaussée petite
Participant
à la course rapide des quatre vents
Je
vais plus vite que la force humaine
Je
fais entrer mon âme dans celle de l'univers
Huy
Cân
...revenir...après le 14 juillet
Affrontant l'été
de toutes mes forces
qu'il me paraît beau!
Hitomi Okamoto
Une tomate dans ma
paume
- je l'offre au
bouddha
je l'offre à mes
parents morts
Santoka
L'été arrive
avec se breloques
en guise de coquillages
Mayuzumi Madoka
Dans une pêche rose
les cercles
concentriques
du cosmos
Minako Tsuji
Les arbres toutes
les portes de l'été
s'ouvrirent d'elles-mêmes
les portes de l'été
s'ouvrirent d'elles-mêmes
JP Denis
Les arbres suis-je vraiment revenu
de ces confins bleus
d'extrême silence?
JP Denis
poèmes :
Bouddha et les femmes ed Albin Michel
Les arbres suis-je vraiment revenu
de ces confins bleus
d'extrême silence?
JP Denis
A bientôt !
poèmes :
Bouddha et les femmes ed Albin Michel
http://www.aafv.org/thanh-va
http://nuageneuf.over-blog.com/article-petit-aper-u-de-poesie-vietnamienne-55246861.html
Haijins japonaises
Le poème court japonais d'aujourd'hui
Me voici forêt JP Denis
Lulena
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