Sûrement à cause du fleuve,
peut-être parce que sur une île;
pour la couleur de la pierre,
parce que j'y vois encore les traces
de tant d'heures, d'années,
de tant d'hommes au travail, de sueur, de misère, et de joie quand se forme la voûte,
de passion - ces arcs-boutants qu'on n'avait jamais vus,
cette provocation,
tous ces regards admiratifs, curieux ou indifférents aussi,
depuis des siècles;
un jardin,
des enfants qui jouent,
des langues inconnues,
un ciel plus grand que partout ailleurs
dans cette ville.
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