Sur Jane Hirschfield :
"Définissant la poésie comme « la clarification et
l’amplification de l’être »,
elle écrit:
« Ici, comme ailleurs dans la vie, l’attention ne fait
qu’approfondir ce sur quoi elle se porte. ».
"L’immersion dans l’art lui-même peut être le point
d’entrée… Pourtant, il est vrai, la véritable
concentration apparaît – paradoxalement – au
moment où on fait moins d’efforts.
d’entrée… Pourtant, il est vrai, la véritable
concentration apparaît – paradoxalement – au
moment où on fait moins d’efforts.
À ce moment-là, il peut y avoir une forte émotion –
un sentiment de joie, ou même de chagrin – mais
comme souvent, dans une profonde concentration, le
moi disparaît.
un sentiment de joie, ou même de chagrin – mais
comme souvent, dans une profonde concentration, le
moi disparaît.
Nous semblons
être totalement sur l’objet de notre
attention, ou bien nous disparaissons dans l’attention
elle-même.
attention, ou bien nous disparaissons dans l’attention
elle-même.
Et pour autant que l’on
puisse croire que le « réel »
est subjectif et construit, nous pouvons sentir que
l’art est un chemin, non seulement pour la beauté,
mais aussi pour la vérité :
est subjectif et construit, nous pouvons sentir que
l’art est un chemin, non seulement pour la beauté,
mais aussi pour la vérité :
si la « vérité » est un récit choisi, alors de nouvelles
histoires, de nouvelles esthétiques sont aussi de
nouvelles vérités."
Proposé par Nathalie C.
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