L'attachement
à soi augmente l'opacité de la vie.
Un moment de vrai oubli et tous
les écrans les uns derrière les autres deviennent transparents, de
sorte qu'on voit la clarté jusqu'au fond, aussi loin que la vue
porte, et du même coup, plus rien ne pèse.
Ainsi l'âme est
vraiment changée en oiseau...
Jacottet
Et l'encre serait de l'ombre Poésie Gallimard
Ivresse du saké, oublier le soi,
RépondreSupprimerrond comme une roue de vélo.
Ivresse du zazen, entrevoir le Soi,
enso !